Une opportunité dans l’espoir d’avoir des champions au plan mondial dans notre golf, mais aussi les meilleures qualités dans chacune des activités qu’ils aiment.
Les connaissances d’aujourd’hui sur la naissance sont nombreuses, mais beaucoup sont nouvelles. Les parents pourraient avoir des informations récentes pour élever leurs enfants afin qu’ils se sentent responsables de leur évolution au plus tôt.
L’entourage autour de la famille, le lieu où elle habite, la région, offrent d’autres expériences dans la vie de chaque jour à tous les enfants.
Chaque type d’éducation, scolaire, sportive et culturelle existe sous une forme différente. Il peut être entrepris sainement selon sa famille, surtout si chacun de ses parents en a une pratique ancienne ou du moment..
Aujourd’hui, le Covid-19 est venu apporter de nouvelles complications dans l’organisation des apprentissages des enfants. Il va nous faire réfléchir à une autre manière de s’initier autrement dans le futur des activités que chacun choisira.
La réussite de certains champions de golf analysée et comparée, offre une ouverture d’orientation nouvelle pour avoir des jeunes qui y soient forts à leur tour. Leur éducation globale est à générer, elle a trois fondements à maîtriser : le corps, l’esprit et leur énergie. Ces trois parties de soi sont essentielles dans le développement de l’activité personnelle pour chaque individu.
Les sciences actuelles montrent que chaque individu est responsable de l’harmonie de sa vie. A chacun de la respecter dans la réalisation des choix qu’il décide pour ses activités.
Où en sont nos champions?
Ce sport, organisé vers 1754 en Ecosse, n’a toujours pas de joueur français bien placé au classement mondial. De multiples questions s’ouvrent:
Pourquoi être de nombreux licenciés en FFG et peu de très bons joueurs dans ce sport?
Quelle est la forme réelle de ce jeu ? Le physique apprend-il le geste au début? Que fait-on pour le jeu ? Sait-on ce qu’il y a vraiment sous le mot « mental » ?
Comment réussir sa préparation ? Comment analyser notre passé, pour mieux se concentrer sur le futur que nous visualisons ?
Autres questions pour aborder l’intention de jouer.
Espérer une histoire future de ce sport ? Pourquoi trouver intéressant ce jeu surtout pour des enfants ?
Comment intéresser leurs parents ? Pourquoi les inviter à accompagner leurs enfants s’ils aiment ce jeu ?
Pourquoi penser adapter un entourage efficace pour accompagner les familles ?
Comment adapter l’enseignement des parents et des enfants ? Comment organiser les clubs autour des vieux parcours ?
La FFGolf propose des solutions, comment compléter les projets connus et les renforcer ?
Sommes-nous inspirés pour changer l’éducation de ce jeu ?
Notre esprit de joueur vient de notre ordinateur!
Bruce Lipton affirme que notre cerveau est un ordinateur où nous avons des programmes inconscients que nous utilisons à 95% dans nos activités. Nous fonctionnons très souvent en un esprit automatique.
Les programmes du cerveau-ordinateur sont créés avant la naissance et les 7 ans des enfants. Cela est intégré avec ce qu’ils découvrent dans leur famille, puis leurs groupes d’éducation primaire.
Ce nouvel enseignement m’a fait comprendre que ma sœur et mes frères n’ont pas eus les mêmes programmes que moi pour préparer leur vie future.
Sur toute la Terre, cette idée montre que chacun est un individu. Les cours individuels et collectifs du golf sont-ils efficaces pour bien jouer dans son futur individuel ?
Le constat de nos jours est que le niveau amateur de plaisir de jouer reste bas. Pour de nombreux débutants, la qualité et le plaisir du jeu sont longs à acquérir.
Les exemples du moment.
L’avenir nous dira comment mieux élever les enfants, plusieurs auteurs sont sur ces sujets pour les jeunes parents.
Pour espérer avoir de très bons joueurs au plan mondial, j’espère que les clubs aidés des enseignants iront dans les écoles pour montrer et faire découvrir le jeu aux jeunes.
Les enseignants scolaires et sportifs ont à acquérir de nouvelles connaissances pour se rapprocher des jeunes à éduquer.
Depuis 2 ou 3 ans, Victor Pérez (92) et Antoine Rozner (93) nous font découvrir leurs exemples. Ceux de Collin Morikawa ou Tiger Woods ajoutent quelques autres éléments à souligner.
Nos joueurs français, à peu près du même âge, je les trouve exemplaires pour leur énergie mise dans leur jeu et les résultats qu’ils obtiennent.
Les deux ont commencé à découvrir le golf au cours de leur jeune âge de manière différente. Victor a commencé à côté de son père, professeur de gym, vers 7 ans. Particularité d’Antoine qui, à 3 ou 4 ans, fut accompagné de sa mère, joueuse de bon niveau.
Grâce aux écoles et à leurs parents chacun d’eux a découvert plusieurs sports collectifs et individuels qu’ils ont pratiqués avec plaisir.
Leur passion du golf est née en activité sportive principale autour de 15 ans.
Les études pour le métier futur qui leur plaisait ont eu lieu aux Etats-Unis. Elles ont été similaires : sport-sciences-liens amicaux d’université et au cours des voyages.
Comment gérer son sport durant sa vie ?
Ces deux joueurs se sont sentis responsables de ce qu’ils ont eu à réaliser pour progresser dans l’ambition de leurs années. Ils ont obtenu leur diplôme et acquis la qualité de leur jeu en même temps, dans leur équipe.
Chacun est à un point de responsabilité intime. Il mène ses projets, il décide de ce qu’il doit accomplir pour ses résultats. Il cultive ses prises de notes.
La trilogie corps-esprit-énergie de soi est à rendre harmonieuse et équilibrée dans chaque activité à exécuter selon son choix.
Une chose qui est intéressante à comprendre même s’il y a beaucoup de détails à analyser. Le sport professionnel demande cela et ils en parlent quand ils sont interrogés après avoir gagné ou au sein de leurs projets.
Je pourrais parler d’autres jeunes, qui ont aussi étudié en Caroline du Nord ou en Californie qui ont aussi des possibilités de jouer dans leur milieu professionnel. Pour le moment, ils ont moins de résultats comme beaucoup d’autres joueurs que nous avons en France.
Quels constats en jeu ?
Que constate-t-on chez la plupart des gagnants en tournoi ? En général, la régularité des résultats sur les quatre parcours à maîtriser. Entre la meilleure partie et la moins bonne individuellement, 4 coups d’écart seraient un objectif à apprendre pour les jeunes.
Cette régularité montre l’équilibre du joueur dans sa trilogie corps-esprit-énergie. Le corps agit correctement avec l’énergie s’ils sont bien reliés au contenu de l’esprit.
L’esprit est influencé par la visualisation et la concentration pour chaque coup de la partie du tournoi.
Où les meilleurs joueurs du monde ont-ils appris et senti cela ? Dans leur jeu très jeunes, puis dans les études de leur choix de métier, en étant des amateurs universitaires en équipe de championnat. L’esprit de compétition est à faire découvrir très jeune.
La passion du golf est à maîtriser sans y être à 100% au sein de sa vie. Les jeunes partagent leurs plaisirs en ayant des liens avec leur entourage et des cultures qu’ils aiment à côté de leur sport favori.
Le tournoi est un moment professionnel comme lorsque nous sommes dans le travail pour lequel nous avons étudié. Chaque partie demande un effort harmonieux pour être à son meilleur niveau de réalisation.
Comment préparer les enfants aujourd’hui ?
Si l’on veut des champions demain, le golf est un jeu à apprendre jeune. L’apprentissage physique et psychique découvert tôt permet aux enfants de se créer un caractère de qualité différent chez chacun.
Cette orientation est à animer auprès des enfants pour leur offrir de devenir efficace au sein de ses activités qu’il découvre. Il peut ensuite autour de ses mémoires, construire ses choix et manières d’agir.
En plus de la famille, l’école, l’entourage amical ou pas, la culture et leur sport offrent des images multiples et des relations aux sens de chaque enfant.
Leur vie familiale leur développe souvent le corps avec son alimentation, domaine qui est aussi en cours de modification dans certaines cantines.
Les outils actuels images, vidéos, télévision ouvrent aussi des informations sur beaucoup de sujets.
L’éducation sportive et culturelle donnent des exemples dans leurs résultats positifs ou négatifs qui permettront de réviser les programmes existants. Pour être susceptible d’avoir des résultats dans ses choix nous devons avoir des décisions en équilibre.
L’harmonie du jeu vient de la relation intérieure équilibrée entre ses pensées et ses gestes. Les sens de chacun offrent des prises d’information de l’extérieur parfois à analyser avec attention. Cette analyse rapide permet de choisir le futur et le visualiser pour réussir. Ces intentions s’appuient sur le système personnel de la concentration et la respiration qui offrent le calme des décisions.
Faire découvrir le jeu au plus tôt.
J’ai remarqué que des joueurs bien placés ont pris une décision personnelle vers 14-15 ans, suite à leur passion.
Un choix qui est né au milieu de la pratique de bien des sports qu’ils aimaient avec leur famille.
Les enseignements entre la naissance et l’âge de 14-15 ans (parfois 12-13 pour les filles) ouvrent des liens d’apprentissage au plan physique et mental.
Je pense que ce mot « mental » est mal défini autour de chaque activité d’étude ou de pratique. Il cache des tas de mots qui désignent un enseignement sain à chacun dans son esprit personnel (Lire les détails dans « Réflexions »).
Je crois qu’un des exercices d’apprentissage de ce sport est majeur par le jeu. J’ai déjà souligné que son jeu de compétition fait découvrir les qualités et les échecs que l’on réalise. Le jeu (ses règles et nos objectifs) nous ouvre l’esprit en fonction de ce qui nous est demandé. Il est aussi l’éducateur dans les tentatives que l’on invente soi-même pour élever son niveau.
Nous jouons avec le cœur et notre cerveau nous transmet les hormones qui nous donnent la bonne énergie de jeu. L’échec sur ce que l’on veut, nous fait chercher en soi, avec notre responsabilité, ce qui doit être amélioré en fonction de son corps.
Notre expérience est mémorisée dans le corps et l’esprit de soi-même.
Etudier chaque jour pour progresser en soi.
Les études ne se font pas aujourd’hui toutes en école ou université. Nous apprenons dans toutes nos activités et nos matériels modernes, tablette, ordinateur…, quel que soit l’âge que nous avons.
Les études en école, lycée ou université ont un rôle : nous avons des exercices et des examens partagés, corrigés, estimés. Nos notes établissent une manière de nous mesurer dans le groupe où l’on est, mais nous allons aussi juger en nous (et peut-être en famille).
Notre analyse du résultat scolaire, réussir ou échouer, nous donne une habitude d’analyser soi-même la situation. Si l’on réussit le plaisir nous empêche d’aller plus haut dans nos recherches pour avoir notre meilleur niveau.
L’échec, dans notre recherche d’objectif, nous demande d’analyser l’endroit « mental » qui nous a conduit au mauvais résultat.
Dans les études au lycée ou même l’université en France selon ce que j’ai vu en tournoi européen de golf, en France, chacun est rarement accompagné son apprentissage en sport et études. La recherche du diplôme a éliminé l’entraînement de sport pour la plupart, ce qui peu adapté leur caractère pour leurs objectifs.
L’intérêt d’apprendre au niveau supérieur ailleurs me paraît intéressant. Les nouvelles idées viennent de tout l’apprentissage décalé, le pays découvert est différent. L’organisation est souvent britannique et favorise les sport et les études. Les entraîneurs de l’équipe sportive aident les jeunes dans leurs études personnelles.
Les pays étrangers me semblent favoriser l’équilibre des étudiants pour leur diplôme, mais en même temps pour leur équilibre corporel et mental. Leurs recherches psychiques et le développement physique établissent la relation entre leur cœur (ils aiment ce qu’ils font) et leur esprit (ils lient toutes leurs activités avec le corps).
Quel espoir d’avoir de grands champions ?
Comment apprendre très tôt à aborder le golf dans les écoles primaires ? La découverte du golf est juste pour donner envie aux jeunes de s’y intéresser un peu plus tard.
La découverte du geste peut être faite sur un terrain scolaire, des exercices spéciaux donnent la possibilité de swinguer avec attention et sécurité. La possibilité de présenter le jeu en vidéo ou télévision à tout le groupe est efficace comme déjà suggéré.
Les enseignants de golf devraient étudier mieux leur métier. Puis accompagner une classe à l’école ou dans un club.
Un instituteur ou professeur qui aime le golf est en mesure de le montrer dans son école même hors d’un parcours. Sur un écran il y a des solutions d’apprentissage de son sport aussi bien que de sa classe.
Le golf des jeunes est à inventer avec la coopération des parents des enfants dans les clubs, les écoles et des associations.
La FFGolf a une nouvelle équipe pour accompagner ces orientations et semble vouloir projeter de changer ce qui existe aujourd’hui.
Les sélectionnés ont des salles de classe à côté de leurs deux centres d’entraînement nationaux. Un progrès d’accompagnement qui sera utile à chaque fille ou garçon pour comprendre comment hausser son niveau de vie complet.
Certains professeurs de golf amènent de nouvelles idées dans leur enseignement, l’avenir est dans cette voie.
Bon courage à tous ceux qui ont l’intention de se lancer…
Michel Prieu